Reportage

Ski

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GALERIE DE SOURIRES ...

Raid de printemps en Val d'Aoste avril 2023

Programme de la sortie:
La fiche événement:  Lien  sur la page

Le séjour en images:
Notre sélection complète de photos :   Lien diaporama

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Faits d’hiver au printemps …

 

Dernière étape de notre parcours, il est pour le moins naturel d’attendre du raid de printemps qu’il mette un terme avec panache au programme Ski Tonic. Au moment où avec Elodie notre guide, nous élaborions le projet, les perspectives restaient pour le moins incertaines pour la période de Pâques au regard de conditions d’enneigement supposées durablement précaires sur l’ensemble des massifs. Aussi avons-nous opté pour des itinéraires cheminant exclusivement en haute altitude. L’occasion rêvée de tutoyer les 4000. Notre choix se portera ainsi sur le Val d’Aoste en Valpelline, avec en toile de fond la mythique « pyramide » du Cervin. Un 4000 en point de mire ? La garantie d’une offre à « la hauteur » …

Alors que durant toute la saison d’hiver, la pénurie de précipitations faisait les choux gras des éditoriaux catastrophistes, la période de Pâques a vu miraculeusement la neige et le froid faire enfin durablement leur apparition sur les sommets. A l’orée de la fermeture des stations, à l’heure où le quidam songe désormais plus à cultiver son Mélanome sous le soleil des plages du littoral que d’aller glisser sur les pentes alpines, pour les randonneurs à ski et glisseurs de tout poil, la saison semble dès lors véritablement débuter. Quelle chance inespérée nous concernant ! La garantie de parcours top class agrémentés en outre de sessions de glisse s’annonçant franchement croustillantes …

Présentation synthétique de notre programme tel que prévu : vendredi, Vallée Blanche, puis migration vers le refuge du Prarayer en Val d’Aoste. Samedi, ascension au Château des Dames à partir de Prarayer, puis retour au refuge pour une deuxième nuitée. Dimanche, migration vers le refuge d’Aosta. Lundi, ascension sur l’Epaule de la Dent d’Herens, puis redescente au refuge Prarayer pour la nuitée. Mardi, rando aller-retour à partir de Prarayer suivant conditions.

Succinct déroulé du séjour en 2521 mots.
Vendredi : Anthony sera notre guide pour la journée. Après une nuitée passée à Chamonix au gîte La Montagne, en prélude à notre escapade en Val d’Aoste, une incursion en Vallée Blanche était initialement prévue. Les conditions météo maussades en auront décidé autrement. Changement de programme. Ce sera finalement une session de portée un peu plus modeste. Remontées mécaniques relayées par une montée à ski jusqu’au col des Rachasses, avec pour objectif de redescendre sur Chamonix via le glacier d’Argentière. Un contexte de visibilité réduite nous a conduit à réaliser les quelques 400m de D+ de notre progression handicapés par un champ visuel franchissant à peine le bout de nos spatules. Au terme de l’ascension, alors toujours plongés dans une opacité du plus bel effet, nous avons attendu quelques minutes dans l’espoir que surviennent les conditions de visibilité compatibles avec une redescente par le glacier. En vain ! Le déchirement du brouillard se faisant attendre, il nous a paru raisonnable de redescendre par « le chemin des écoliers », en marge des risques inhérents à l’omniprésence de crevasses. Pourtant, à peine quelques (dizaine de) virages plus tard, le brouillard se dissipe soudainement laissant présager une parfaite et durable visibilité. En dépit de la tentation que vous pouvez imaginer, le timing de la journée imposant une arrivée avant 19h au refuge Prarayer en Val d’Aoste nous interdit d’envisager une remontée pour basculer comme initialement prévu en compagnie des spectaculaires séracs. Finalement, peu importe. La neige est fraiche, profonde, vierge de toute trace. Les conditions idéales pour mener à son terme ce véritable hold-up brillamment amorcé !...
La suite fut un peu moins grisante. Par la route, il conviendra d’atteindre sans tarder notre destination en Val d’Aoste, en évitant le tunnel du Mont Blanc en proie à un fort trafic. Il en résultera environ 2h30 de route en passant par le tunnel du Grand Saint Bernard pour atteindre le parking du lac de Place Moulin. S’ensuivra un cheminement à ski d’une heure sans difficulté particulière jusqu’au refuge situé à environ 2000 m d’altitude. Nous y retrouvons Elodie et Robin, nos guides pour le reste du séjour. Nous arrivons à point nommé pour « mettre les pieds sous la table ». A l’issue de notre premier diner sur place, il apparaît clairement que si nous devions un jour mourir de faim, ce ne serait assurément pas dans cet établissement !... Par ailleurs équipé de sanitaires avec eau chaude, de dortoirs de capacité contenue, le refuge est confortable et offre tout ce que les randonneurs sont en droit d’attendre après une longue journée d’effort.

Samedi : 6h. Un rapide coup d’œil vers le ciel nous rassure sur les conditions climatiques du jour. La lune rousse nous toise de son air condescendant. Pas un nuage à l’horizon. Conditions à priori stables pour les trois prochaines journées. Une dégradation pourrait se profiler ensuite… On a le temps de voir venir. Après une confortable et reconstitutive nuitée, si tant est qu’il y eut quoi que ce soit à reconstituer, l’objectif de la journée sera d’atteindre Château des Dames (3489 m.) en aller-retour depuis le refuge. Une belle et longue journée en perspective avec un substantiel D+ 1500 m. Levons de suite l’ambiguïté en précisant que le Château des Dames que nous visons ici, est un très beau sommet Italien sans rapport connu avec Chenonceau, joyau des châteaux de la Loire, également identifié par ce pseudonyme. Départ aux aurores, histoire de profiter des magnifiques lumières et du jeu magique des ombres animant le grandiose décor alpin. Notons que ce départ matinal a également pour effet de garantir une redescente pas trop tardive au regard du phénomène de transformation de la neige, bien marqué en cette période de printemps…
Clac !… Clac ! … Ainsi sonnent les fixations lorsque nous prenons place à bord de notre véhicule bi-latte composite équipé sur sa surface de contact d’un dispositif anti-recul appelé communément peau de phoque, on ne sait plus très bien pourquoi, d’ailleurs … Une fois à bord de l’engin, il ne vous reste plus qu’à vous laisser porter par le mouvement alternatif animant respectivement chacune des lattes en contact avec la neige. Ainsi débute une longue et très agréable séance contemplative. Quel plaisir que de se laisser ainsi mouvoir nez au carreau, spectateur de tant de merveilles, avec pour seul souci, la problématique d’identification des sommets qui défilent face à nous… Whouêt ! Trop chouette le ski de randonnée ! On comprend désormais mieux l’engouement observé ces dernières années pour l’activité… Nous progressons ainsi organisés en tortillard, guidés par Robin notre locomotive, qui au rythme de ses volutes Marlboro imprime sa cadence placide mais imperturbable… Tatoum-tata, tatoum-tata, tchou-tchooouuu !...
Passé 3000 m d’altitude, certains de nos véhicules semblent affectés par le syndrome du souffle court. Une relative et bien naturelle baisse de performance est observée. Nos motoristes le savent, le manque d’oxygène affecte la qualité de combustion. Le rendement baisse. Quelques zipettes résultant de conversions mal négociées (ou de conseils mal suivis) altèrent un tant soit peu la dignité du groupe (et le flegme de Robin). On perd du temps. Le timing initial n’est plus tenu. Nous achèverons ainsi notre ascension à quelques dizaines de mètres du sommet. Son accès est rendu difficile car nécessitant la maitrise de progression verticale en neige, rocher et glace. Le prix à payer pour aller sonner la cloche siégeant au point sommital. A ce stade, nous n’avons plus le temps d’engager l’ultime ressaut ! Face à la récompense d’un panorama extraordinaire dominé par la stature impressionnante du Cervin, la déception d’avoir échoué à quelques mètres du but apparaît toutefois secondaire. Et puis, il suffira d’oublier ce détail lorsque viendra le moment d’évoquer notre périple !... Promis, je resterai discret sur la question …
Le temps d’une photo, après avoir englouti quelques vivres de course et reconfiguré nos véhicules en mode descente, …  hop, c’est parti nez dans le guidon pour une magnifique descente dans des conditions de terrain que nous n’aurions osé imaginer quelques jours auparavant… Avec une neige profonde, légère et manoeuvrante, les deux premiers tiers de la descente nous ont offert des conditions rêvées. Puis au grès de notre perte d’altitude, parfois croutée, puis soyeuse, la neige se transforme progressivement, devient plus technique, plus piégeuse, plus intéressante, diront certains, néanmoins parfaitement skiable et toujours agréable à pratiquer. Sur la dernière partie de l’itinéraire de retour, il aura fallu toute la compétence de Robin pour trouver les conditions de neige optimales au bon endroit, au bon moment, et agrémenter notre descente par le jeu des variations et surprises topologiques. Jusqu’au bout, il n’y aura vraiment rien eu à jeter ! Plaisir rare et précieux que ces sensations extraordinaires généreusement offertes par les sessions de ski hors sentiers battus !... 
Retour au refuge Prarayer à l’horaire ciblé. Soirée agréable. Nuitée appréciable…

Animation du parcours de samedi: ICI 

 Dimanche : Ciel dégagé. Belle journée en perspective. Rien ne presse. Départ un peu plus tardif que la veille avec pour objectif, la montée au petit refuge Aosta, au pied de la Dent d'Hérens. Au global, un D+ raisonnable d’environ 800 m. Un beau cheminement dans la continuité de la vallée de Valpelline, de dénivelé modeste, sans difficulté technique particulière, qui nous mène à notre plateforme d’envole du lendemain. Arrivée à destination en fin de matinée. Nous sommes agréablement accueillis par le gardien qui offre sa tournée de Génépi maison. Diégo sait recevoir ! Nous découvrons l’établissement. Un chouette petit refuge alpin traditionnel. Le confort est à l’avenant. Autrement dit, sans eau et accès à l’unique toilette digne d’une ascension hivernale engagée (piolet et crampons conseillés …). Nous déjeunons au refuge. Notre programme sportif se limitera finalement à l’ascension de la matinée. Une récupération sera la bienvenue au regard de notre prochaine étape qui s’annonce plutôt éprouvante. Afin d’occuper profitablement l’après midi, une animation sera judicieusement proposée par Elodie et Robin. Manipulation du matériel à l’appui, le thème choisi sera : « organisation et choix stratégiques dans le cadre d’une intervention de sauvetage de victimes d’avalanche ». L’occasion pour Robin d’observer qu’en dépit de leurs pédigrée et responsabilités au sein du bureau d’études Stellantis, constructeur figurant, précisons le, dans le peloton de tête de l’industrie automobile mondiale, les éminences de la conception font parfois preuve d’un sens pratique … disons, … très personnel… Surprenant ! En tout cas de quoi effrayer notre guide à l’idée qu’un jour, il pourrait être amené à rouler dans un véhicule du groupe ! …
Soirée agréable. Nuitée convenable avec pipi nocturne… par la fenêtre… car nous sommes nombreux à n’accepter le risque que dans une certaine mesure.

Animation du parcours de dimanche : ICI 

Lundi : 6h. Le jour commence à pointer. De nouveau le ciel apparaît dégagé. La lune rousse, toujours là, semble nous défier de son air narquois. Une magnifique journée se profile de nouveau. Au programme cette fois, Epaule de la Dent d'Hérens (4075m.), vue imprenable sur le Cervin et magnifique descente par le Glacier des Grandes Murailles, avant le retour au refuge Prarayer. Ce n’est pas tous les jours que nous avons l’occasion de franchir les 4000 m d’altitude. Pour certains, l’événement sera même une grande première !  Cette journée sera donc à apprécier à sa juste valeur, et bien sur, à marquer d’une pierre blanche. Mais arrêtons là les palabres. La balade s’annonce longue. Il est temps de mettre de nouveau en route la caravane…
Clac !… Clac ! … Ainsi sonnent les fixations lorsque nous prenons place à bord de nos véhicules bi-latte composites équipés de leur interface de contact anti-recul appelé communément peau de phoque, on ne sait plus très bien pourquoi, d’ailleurs … C’est donc reparti ! Le tortillard s’ébroue enfin. Notre locomotive imprime son rythme puissant et inébranlable. Animé par ses impulsions traine-savate, le convoi serpente lentement mais sûrement vers les hauteurs.  Nez collé au hublot, entrainés par le mouvement, nous nous délectons des merveilles observées. Bientôt l’ambiance devient glaciaire. Le spectacle apparaît grandiose. Réputé pour sa grande générosité, sans retenue, le glacier des Grandes Murailles nous offre en spectacle ses impressionnants attributs. Crevasses, séracs et rimayes, magnifiques accidents topologiques, semblent s’animer par le jeu réciproque des ombres et des lumières dans une ambiance diaphane bleutée du plus bel effet. La scène est d’une esthétique extraordinaire. Captivés par la beauté du spectacle, nous en avons oublié les effets délétères de la haute altitude sur la performance de nos véhicules. Pourtant, nous frôlons désormais le cap des 4000. Un peu à l’image des pilotes de chasse à l’époque où le passage mur du son devenait un objectif, réalisant la situation, les primo accédants 4000 apparaissent subitement en proie à une véritable angoisse : mais que va-t-il vraiment se passer au moment du franchissement fatidique ? Allons-nous exploser ? Imploser ? Nous liquéfier ? Nous décomposer ? Nous sublimer ? Nous cristalliser ? Nous lyophiliser ? Nous pétrifier ? Coaguler ? Ou changer de genre ? … En effet, quelle angoisse ! … Le temps de s’interroger sur la question, et le convoi a passé les 4000. Et alors ??? … Rien !...Ah si, … une nette odeur de clope !... Mais comment se fait-il ? Quelle peut bien être la cause de cet étrange phénomène qui se manifeste alors en pleine nature, à si haute altitude ? … Une rapide investigation en dévoile l’origine : la locomotive a saisi l’occasion pour alimenter sa chaudière de combustible Marlboro … C’est donc reparti au rythme des volutes. Tatoum-tata, tatoum-tata, tchou-tchooouuu !... Désormais, à peine une centaine de mètres de dénivelé nous sépare de notre objectif sommital….
Nous y voilà ! Nous sommes juchés ici sur un belvédère géant dominant tout le massif, à quelques 4100 m d’altitude. A portée de main, le mythique Cervin dont on distingue nettement  le point culminant, et bien sur, le Mont Rose qui fait aussi partie des vedettes locales. Extraordinaire panorama ! Nous sommes désormais les maitres du monde ! …
Le temps d’une photo de groupe, de refaire l’appoint d’énergie, une fois repus d’une généreuse déférence contemplative, il est grand temps de penser à la descente. Il convient alors de reconfigurer nos véhicules dans le mode approprié : le petit bouton vert en haut à gauche pour désarmer les interfaces anti-recul, le petit bouton rouge en haut à droite pour inverser la poussée gravitationnelle, et enfin, essentiel pour la descente, le levier bleu au milieu pour réarmer le tobogan … et hop, c’est parti pour une nouvelle session de glisse ! ...
Nous abordons la descente par un vaste dôme. Libérée par le vent, la glace bleue apparaît par endroit. On la devine alors très proche sous nos semelles. Attaquer de la carre une de ces plaques de glace vive vous garantit la chute du siècle ! ... A éviter, donc. Ce n'est pas le moment de jouer les malins... Restons dans les traces de Robin. On s’engage ensuite sur de grandes pentes très larges menant au cœur d’un cirque dominé par les séracs. La neige est excellente. Le décor est fantastique. Une véritable merveille ! Passé la zone de turbulence des séracs et crevasses, libérés des dangers qu'elle concentre, nous profitons alors du gain de latitude accordé pour exprimer librement nos chorégraphies de glisse alpines empreintes de leur marque bien personnelle, pas toujours bien maitrisées... Quel plaisir que de saccager ces pentes immaculées, vierges de toute empreinte d'origine humaine. En proie à nos égos surdimensionnés, ce sera alors à celui qui dessinera la plus belle trace. C'est ainsi que, comble du narcissisme, j'ai tenté pour la postérité de graver mon nom sur une des plus belles pentes enneigée du monde... sans résultat probant !... La faute au matériel, sans doute ! ...
Puis, au gré de la perte d'altitude, peu à peu la neige se transforme. Robin nous indique comment visuellement identifier les zones à éviter. Piégeuses, les surfaces lisses apparaissent croutées, les surfaces à vaguelettes offrent une neige encore agréable à skier. A vous de choisir ! ...
Nous achevons ainsi paisiblement notre cheminement vers le refuge Prarayer. Nous rejoignons le fond de la vallée, puis les crocus en quelques courbes sur une tendre moquette ... Extra ! Chiche, on se la refait ? ... Pas le temps ?!  Ah bon ? Quel dommage !
Rendez-vous est convenu en terrasse du refuge dès l'issue de notre parcours pour un debriefing autour d'un verre. Le soleil est à cette heure encore radieux. Difficile dans ces conditions d'admettre le bien fondé des propos que s'apprêtent à nous confier nos guides. En effet, pour le lendemain, Elodie et Robin nous annoncent une situation climatique peu compatible avec la poursuite de notre périple. Précipitations marquées et visibilité réduite prévues. Aprés les magnifiques journées que nous venons de vivre, il serait dommage de ternir le séjour par une journée sans intérêt. La mort dans l'âme, nous convenons alors de mettre un terme à l'aventure. Aprés une dernière bonne nuitée au Prarayer, nous reprenons sans tarder le chemin du retour...

Animation du parcours de lundi : ICI 

Il est toujours de bon ton de clore un programme avec classe et élégance. Il me semble que concernant Ski Tonic, le contrat est en l'occurrence, tenu. La saison tire sa référence de très belle manière. Nous étions quelques-uns quand-même à n'avoir jamais franchi l'altitude emblématique des 4000 qui plus est, dans des conditions climatiques et de terrain particulièrement appréciables. Passé à la trappe pour les raisons évoquées, la dernière étape "manquée" ne pourra pour autant altérer la trace teintée de belles émotions qui aura marqué ces quelques jours passés en haute montagne. Ces moments nous auront par ailleurs permis de découvrir Anthony, Elodie et Robin, personnalités attachantes que nous avons tous apprécié pour leurs compétences, leur sérieux, leur penchant naturel à partager leur passion de la montagne. Le programme qu'il nous ont offert était tout simplement fabuleux. Ces quelques jours de loisir sportif, véritable bulle hors du temps, en marge relative de la civilisation, à l'écart du tumulte urbain qui caratérise tant notre quotidien, nous ont fait énormément de bien. Nous en sommes revenus gonflés à bloc, des étoiles plein les yeux... Contrat rempli, donc...
Un grand merci à Anthony, Elodie et Robin, nos découvreurs de pépites de haute montagne négociants en bonheur d'altitude. Et puis, châpeau bas et congratulations à nos glisseurs randonneurs d'avoir répondu présents pour cette ultime sortie de la saison...

 

A bientôt.
Chonch’
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Prochain événement Ski Tonic:  Rendez-vous au début de l'hiver 2024 ...

 

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